Devant la pension, le garde reprend:
Veuillez laisser vos mains bien en évidence, monsieur Khôril Mylos, le temps que nous clarifions la situation.
Le premier garde continue de surveiller l'artiste. Restant en vue, son collègue fait quelques pas pour mieux apprécier la situation extérieure. Les traces du combat sont on ne peut plus visibles.
Dans la pension, un des deux hommes s'adresse sèchement au masque: Reculez, et laissez vos mains en vue!
L'autre laisse échapper un Ah légèrement moqueur, un peu amusé. Le prisonnier s'est tu.
Sur la place, un garde amène un broc fumant et quelques tasses. C'est la dernière image qu'aperçoit la jeune fille avant de s'effondrer de fatigue.