[Déplacé depuis PJ - Kasagh]Discussion diverse

Question: Vue que je suis projetée au fond du couloir et menès jusqu'au mur: La lumière émit par la lampyradae du lion ne nous atteint pas?

Si si. Je vais refaire un schéma ptètre.

Moi joueur est compris que le lion n'est pas agressif (quoique ceci n'est qu'une supposition)mais Shéridan pense qu'il est près à bondir...

L'observation prenant quelques secondes, je laisse aux autres le temps de réagir au cas où. Après Shéridan agit dans l'urgence... un prédateur comme ça faut pas lui laisser ne serais-ce qu'une seconde de répit ou on est cuit ...

Je sais pas pourquoi mais je sens que je vais nous mettre encore plus dans la mouise...

Bouahahahah
Pourtant quand j'ai jeté les dés pour toi et la déflagration ça a été assez correct... T'as vexé Dédé ?

Le pauvre dédé. Je lui ferais un gros calin s'il m'enchaîne les jets ouverts

Vue les derniers évènements je pense que Shéridan s'est rendue que le lion n'était pas près de bondir non?

Vue que j'ai commencé à avancer, j'imagine que je ne voie pas les deux autres félins.

A un pas ou deux près, et z'êtes quand même vachement collés dans l'angle, et t'as bien regardé un peu pour lancer ton sort je suppose, ou au moins quand tu l'as lancé... Bref comme tu veux, c'est pas dramatique.

Je ne suis pas là ce soir. Je reviens tard dans la nuit, donc si les choses évoluent d'ici là, je suis le groupe.

Réflexion interne de Shéridan: "On est dans une montagne... et dans une auberge... un lion, une panthére et un tigre dans une auberge??? Je vais éviter de poser trop de question sur où nous sommes et comment nous nous sommes retrouver ici. J'ai pas envie de finir sur le bûcher pour hérésie. Dame Kurayami était vraiment obliger de nous lâcher ici? ça aurait été beaucoup plus simple eu milieu d'une forêt ou d'une plaine."

Alors que tout le monde est rentré dans la taverne, je lâche un soupir:

"On dirait que ton maître, ne s'inquiète pas beaucoup pour toi. Après ce qu'on a vécue depuis hier soir je peux l'excuser." tout en continuant à lui caresser le museau.

Je la détache de la charrette et l'emmène à proximité de la végétation puis la laisse brouter tranquillement.

Pendant ce temps j'observe le village en contrebas...
[observation]
... avant d'essayer de trouver un point d'eau pour remplir le sceau et donner à boire à la jument.

Apparemment les gens qui ont fait les maisons dépareillées ont aussi apporté chacun leur style aussi à leurs jardins, du coup y a du fourré de garrigue, du baobab, du saule, du cerisier, du vieux chêne, des arbustes et haies en tous genres...Mais la base de l'herbe est plutôt sèche et faite de petits graminés sauvages, genre pied de montagne de zone tempérée.
Aucun passant n'est directement discernable, mais il ne plane pas spécialement de silence pesant de ville fantôme. Question point d'eau, rien de visible directement.

Redonnant quelques caresse à la jument:

"Reste bien sage pendant que je vais voir où je peux te trouver de l'eau"

Je retourne vers l'auberge.

Vu que tout le monde s'en fout que tu passes avec un seau, tu arrives dehors. Tout est toujours là, la jument est en train de brouter un peu plus loin.

Je pose le sceau à proximité de l'arbre et vais chercher la jument qui s'est un peu éloignée. Je la ramène et la rattache à l'arbre sans la rattacher à la charrette et en laissant suffisamment de mou pour qu'elle puisse continuer à brouter aux alentours et boire dans le sceau.

Une fois cela fait, je jette un oeil sous la bâche de la charrette.

[observation]

Il s'y trouve principalement du matériel de survie, de camping, de cuisine, des vêtements, de la nourriture... Visiblement tous les biens d'un voyageur prudent.

Je m'approche de la jument lui redonne quelques caresses sur le museau:

"Je te laisse ma grande. Soit sage."

Puis je retourne dans l'auberge pour rejoindre les autres à la table.

Tu peux faire ton entrée je pense, vu comme ils sont loquaces les autres ><

Dit moi quand je peux arriver avec Ménes et Camille.

Bah quand tu veux hein, sont pas biens loins et vont bien te voir arriver depuis le bout de la rue et inversement.

Aucun parfum? c'est pas normal pour une fleur ça.

Alors la fameuse maison avec le potager? j'ai son adresse sur la lettre?

Non, les trois adresses sont dans des rues différentes.

Quand je sort de la taverne je m'adresse à Sayurie avant que Camille ne nous rejoigne (de toutes façon je ne l'ai pas vue je pense se lever):

« Excusez moi Dame Akémie. Je pense que nous sommes tous assez déconcerté par ce qui nous arrive depuis vingt quatre heures, et même si vous ne laissez rien paraître vous devez certainement l'être aussi et vous vous êtes mis en quête de réponse. Comme vous je pense qu'il y a une bonne raison pour que l'on nous est réunies.
Ce que ont essayé de vous dire Camille et Ménes, assez maladroitement je l'avoue, c'est que nous aimerions que vous vous défiliez moins à nos questions. Vous avez surement vos raisons, après tout nous nous ne connaissons que depuis trop peu de temps pour avoir une confiance absolue entre nous et pourtant nous sommes là tous ensemble. Nous devons nous entraider.»

Quand tu arrives dehors, tu commences ta tirade mais te rends compte très vite que Sayurie n'est pas en vue, le parvis de l'auberge est désert.